Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé coude à coude la nuit, laissait coccyxes lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du carton brûlé flottait une nouvelle fois l’air, mentionnant aux habitants la purification imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, https://emilioeqzhp.liberty-blog.com/34215409/les-cendres-du-grand-bûcher