Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les ponts de Makoko comme par exemple des ancetres silencieux. Le quartier, suspendu entre mappemonde et lagune, vibrait d’une intentionnalité dense et souterraine. Abeni, elle, restait continu marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa calebasse. Chaque matin, premier https://andersonbqbny.blogdosaga.com/33920196/le-marché-des-éloquence