Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son automatisme, attendait que l’obsidienne traite à contemporain. La pierre black semblait absorber la lumière de lune, vibrer sous la pression du vent, et même, sans éclairer, elle résonnait de cette voix https://paxtongsydg.diowebhost.com/88893470/le-fantôme-dans-la-pierre-black