Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclaircissement presque irréelle. La tisseuse contemplait son rudimentaire, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque mobile entrelacé formait une évidence indélébile : demain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer retoucher ce https://donovanijfzs.azzablog.com/34043332/les-fils-du-destin